La 5G promet de nombreuses améliorations par rapport à la 4G. Rapidité, performance, mais surtout intelligence accrue sont les maitres mots de cette nouvelle technologie. Elle permettra le développement d’applications plus efficaces et plus compétitives. Elle sera ainsi bénéfique pour tout le monde, que ce soit pour les particuliers ou les grandes sociétés.
Cependant, cette technologie ne fait pas l’unanimité. Elle présente, selon certains scientifiques, plus de dangers sur le plan sanitaire que la 4G.
La 5G et les ondes classées 2B
Le CIRC ou Centre International de Recherche sur le Cancer propose une classification des agents et substances en 4 groupes, selon leur niveau de dangerosité :
• Le groupe 1: cancérigène
• Le groupe 2 qui se divise en deux sous-groupes :
2A : probablement cancérigène
2B : peut-être cancérigène
• Le groupe 3 : non classifiable
• Le groupe 4 : probablement non cancérigène
Les ondes émises par les réseaux sans fils de la 2G à la 5G sont classées dans le groupe 2B. Elles sont donc classées comme « peut-être cancérigène». Le plus grand danger du déploiement de la 5G serait, cependant, une forte hausse d’ondes dans l’atmosphère.
Doit-on vraiment s’inquiéter ?
Avec le déploiement de la 5G sur tout le territoire français, on verra la disparition progressive des réseaux 2G. Ainsi, la quantité d’ondes que chaque corps recevra quotidiennement ne variera que de peu. De plus, cette nouvelle technologie émet les ondes de façon plus intelligente en ne ciblant que les appareils qui en ont besoin.
Il est aussi bien de signaler que le groupe 2B contient aussi des aliments que l’on consomme régulièrement, tels que les cornichons, le curcuma ou encore le clou de girofle. Les ondes émises par la 5G ne présentent donc qu’un niveau de dangerosité peu élevé pour ne pas en profiter.